- Argent -
- Santé-Bien être
- 30/05/2022
La Navette Solidaire propose aux enfants et adolescents en p....
À vingt ans, on ne s’en soucie pas. Mais quand approche la soixantaine, l’angoisse monte : comment vivre si l’on n’a droit qu’à une faible retraite, voire pas du tout ? C’est la question qui taraude Ariane, en dépression et allocataire du RSA depuis 20 ans. Après une jeunesse insouciante auprès d’un compagnon suffisamment aisé pour qu’elle n’ait pas à travailler, elle s’est retrouvée seule, sans emploi, sans qualification. Ses tentatives d’emploi ont échoué, elle a fini par demander le RSA et n’est jamais sortie de sa spirale d’échec.
La suite de cet article est réservé aux abonné(e)s…